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Travail vivant 2

Autre volet de la nouvelle théorie du travail proposée par Christophe Dejours, ce livre montre que l'organisation du travail a des incidences qui vont bien au-delà du seul monde du travail. Au travail, on peut en effet apprendre le respect de l'autre, la prévenance, la solidarité, la délibération, les principes de la démocratie. On peut aussi y apprendre l'instrumentalisation de l'autre, la duplicité, la déloyauté, le chacun-pour-soi, la lâcheté, le mutisme.

Les Dissidences du corps

Le corps a parfois des comportements insolites : il ne fait pas ce qu’on attend de lui. Certains patients déjouent le pronostic médical et peuvent aller jusqu’à faire douter du principe même de prédictibilité portant sur l’évolution habituelle des maladies. Pour une part, il se pourrait que les maladies du corps soient plus humaines et sociales qu’on ne le pense, c’est-à-dire pas uniquement placées sous le primat du déterminisme biologique. Quels sont donc les ressorts de ces dissidences du corps ?

Conjurer la violence

Dans les écoles, chez les policiers ou les travailleurs sociaux, dans les usines ou les bureaux, chez les jeunes en situation de non-emploi, partout l’on assiste à une aggravation de la violence. Quel sens lui donner ? Peut-on la conjurer ? Comment se déclenche-t-elle ? Quelles sont ses conséquences ? Utilise-t-on les bonnes méthodes pour la traiter ?

Ce qu'il y a de meilleur en nous

Ce qu’il y a de meilleur en nous, c’est la sublimation, et elle n’est pas réservée aux "génies" : tous, nous sommes créatifs. Le travail, qui est central à nos vies et à notre quotidien, est le lieu par excellence de cette créativité qui nous permet, face aux obstacles, aux échecs, de déployer encore et encore notre intelligence et notre endurance. Le résultat, quand le travail est bien fait, c’est l’accomplissement de soi.

Ce qu'il y a de meilleur en nous

Ce qu’il y a de meilleur en nous, c’est la sublimation, et elle n’est pas réservée aux « génies » : tous, nous sommes créatifs. Le travail est le lieu par excellence de cette créativité et, quand il est bien fait, il aboutit à l’accomplissement de soi. Or, depuis une trentaine d’années, ce plaisir est systématiquement attaqué par le néolibéralisme et son culte de la performance et de l’évaluation, qui réduit le travail à une activité vidée de son sens, nous englue dans la servitude, brise le lien social.

La panne

Le système néolibéral ne peut pas fonctionner sans nous, et s’il nous oppresse, nous avons aussi le pouvoir de le mettre en panne. Ce moment approche. La panne ne sera pas provoquée par une grève générale, mais par le fait que les gens n’y croient plus, n’ont plus envie de produire. Aujourd’hui, l’organisation du travail mise en place dans les années 1980, cette évaluation individuelle des performances qui veut détruire les solidarités et l’entraide, se heurte à des résistances de plus en plus nombreuses et fortes.

Le Corps, d'abord

Nous vivons simultanément dans deux corps : le corps biologique, qui est le corps des organes et des fonctions, le corps qui figure sur les planches anatomiques, celui qu'on examine au microcospe ou qu'on soigne avec des antibiotiques ; et le corps érotique, qui est le corps vécu, celui que nous "habitons", au travers duquel nous éprouvons la vie, la souffrance, le plaisir, l'excitation sexuelle, le désir. L'un relève de l'inné ; c'est le corps biologique. A partir de lui se construit progressivement l'autre corps, le corps érotique, qui relève donc de l'acquis.

Travail vivant tome 1

Aliénation, suicide : on sait bien, depuis Souffrance en France, que le travail peut produire le pire. Mais qu'il puisse aussi générer le meilleur, qu'il puisse être facteur d'accomplissement de soi et d'émancipation, une majorité de gens en doutent. C'est pourtant la voie explorée dans ce livre qui propose, grâce à une nouvelle théorie du travail, de penser politiquement l'organisation de celui-ci. Ce premier tome analyse les rapports entre travail, corps et sexualité.

Travail vivant 1

Aliénation, suicide : on sait que le travail peut produire le pire. Mais qu'il puisse aussi générer le meilleur, qu'il puisse être facteur d'accomplissement de soi et d'émancipation, une majorité de gens en doutent encore. C'est pourtant la voie explorée dans ce livre magistral qui propose, grâce à une nouvelle théorie du travail, de penser politiquement l'organisation de celui-ci. Ce premier volume analyse les rapports entre travail, corps et sexualité.